Au-delà du fait de m’offrir l’opportunité d’accéder à une formation qui débouche sur une filière innovante, elle a attiré mon attention car elle me permettait de valider mes acquis. Réaliser cette formation était synonyme d’une reconnaissance de mes acquis par l’obtention d’un diplôme à équivalence Bac+5, une priorité pour l’avenir de mon parcours professionnel alors que je suis actuellement titulaire d’un diplôme de niveau III (Bac+2). Malgré plus d’une vingtaine d’années d’expérience professionnelle et dans le cadre d’un changement de poste, être titulaire d’un BTS ne me permettait pas de prétendre à un poste à responsabilités.
L’écoute et la prise de recul qui sont selon moi deux qualités complémentaires et indispensables pour devenir consultant. Il est également nécessaire d’être à même de se remettre dans la position d’étudiant. Mais aussi à se réintégrer dans une équipe, qui plus est une équipe multiculturelle, environnement encore inconnu pour ma part. Ce microcosme multiculturel permet d’apprendre à accepter les différences de chacun.
Principalement en raison de mon intérêt pour le milieu industriel et sa découverte. En ce sens, le PLM apporte une approche innovante et incontournable de l’industrie, et la formation donne les outils permettant d’agir sur la performance industrielle.
La formation tient sa force de la diversité des cours abordés. En effet, nous ne sommes pas préparés à un unique métier du PLM mais aux métiers du PLM.
D’une part, des cours enrichissants avec notamment, la prise en main des outils du Consultant (analyse, prise de décision), une connaissance des bonnes pratiques avec ITIL ; la modélisation, la réalisation d’un tableau de bord avec ses indicateurs ainsi que l’apprentissage des savoir être d’un bon communiquant…
D’autre part, les consultants qui interviennent possèdent des visions et des expériences différentes du métier de Consultant PLM. Ce large spectre facilitera notre intégration en tout contexte.
Les mises en situation de nos enseignants sont bien menées et remettent au goût du jour les méthodes du monde industriel, que ce soit en grandes et petites entreprises. Les workshops, par exemple, s’utilisent dans de grandes structures.
Pour une personne possédant une expérience professionnelle, il faut se préparer à une remise en question. Sinon, curiosité et énergie : il faut être moteur de sa formation. Au-delà de cela il est important de faire abstraction de ses préjugés, d’être capable de repartir d’une feuille blanche.
Oui, en milieu industriel. Cela nous est facilité par le réseau de connaissances initié par notre intégration à l’Académie du PLM.